Rechercher dans ce blog

vendredi 24 avril 2015

VERONICA UNLIMITED " I  WANNA DANCE WITH YOU " ( 1981  ) :                                       Cette formation de studio produit par  Hans Van Hemert est le type même de production où échoue la disco allemande au début des années 80 :  une pop insipide façon Eurovision , incluant un bellâtre moustachu  juste là pour  la figuration , et des pseudo " chanteuses " interchangeables (des vocalistes de studio , vite remplacées par des nymphettes peu vêtues pour les pochettes de disques et les prestations télé  ) ... Le tout  faisant les belles heures de l'émission Musikladen . On est bien loin de l 'ingéniosité d'un Frank Farian ( Eruption , Boney M) ou le génie d'un Giorgio Moroder . Et pourtant , une bonne surprise n'est jamais loin :  D 'un  répertoire quelque peu inepte  , émerge ce titre frais et étonnamment disco .  En 81 , " Dance With You " et bien d'autres morceaux , montrent que cette musique n'est pas aussi moribonde que les médias veulent le faire croire ...

4 commentaires:

  1. Hummm... cette pochette avec ce coucher de soleil, le même que celui que l'on trouve parfois sur des chemises...un homme pour 3 femmes c'est le dosage retenu comme pour Boney M, voyez comme elles entourent le playboy moustachu ondulé...laissons de côté la pochette qui n'a guère d'intérêt semble-t-il. Comme tu dis Monsieur Wizz, le morceau mérite notre attention, un titre qui, produit différement , avec une frappe plus marquée serait encore plus efficace

    RépondreSupprimer
  2. Tout à fait mister Gillou , j'imaginerais bien ce titre avec une bonne frappe de bucheron façon Cerrone et une flopée de violons limpides... !

    RépondreSupprimer
  3. cher mister Alex, je crois bien que je devrais écrire un morceau intitulé "Disco Télépathie" : au moment où tu as publié cet article, j'étais en train de collaborer avec Ralph (du blog All about Luv') pour quelques articles... L'esprit de Hans van Hemert serait il en train de faire un tour en France ?

    RépondreSupprimer
  4. Et oui , mister Julian , encore un exemple du phénomène de " discopathie " entre nous !

    RépondreSupprimer