DOCUMENTAIRE : L'histoire extraordinaire de la reine du disco, Donna Summer, à travers de riches archives d'extraits de films inédits, de vidéos personnelles, de photographies, d'œuvres d'art, d'écrits, d'enregistrements audio personnels et d'autres enregistrements qui retracent la vie de l'une des artistes les plus emblématiques à avoir fait trembler les murs d'une salle de concert. De ses débuts avec Giorgio Moroder en Allemagne à ses dernières années plus axées sur la spiritualité et la vie de famille pour échapper aux problèmes liés à la notoriété et aux blessures intimes . DOWLOAD : https://1fichier.com/?f4kenie9me6osjvckcd9&af=3456997 ( Copier / Coller le lien dans la barre de recherche )

Brooklyn Sudano voulait faire un documentaire sur sa mère, Donna Summer , après avoir réalisé qu'elle était bien plus complexe que ce que les gens imaginaient savoir d'elle. Roger Ross Williams voulait également faire un documentaire sur la chanteuse. Alors qu'il discutait d'un projet potentiel avec Julie Goldman , celle-ci les a mis en contact. Williams et Sudano ne voulaient pas que le projet soit un objet publicitaire à la gloire de Donna Summer , mais plutôt qu'il explore les aspects difficiles de sa vie et de sa carrière . Sudano et Williams ont choisi d'utiliser Les propres mots de la chanteuse, en utilisant des cassettes audio enregistrées pour ses mémoires "Ordinary Girl " .

Dès l'enfance , Donna est marquée par le destin : elle raconte comment à l'âge de 6 ans, elle s'est accidentellement fait une large entaille à la joue sur une chaise de cuisine que son père était en train de réparer. Cela lui a laissé une cicatrice qui a duré toute sa vie et qui lui a laissé un sentiment d'insécurité permanent . Et c'est là que ce pourtant très beau documentaire déraille en travestissant les faits : Sous la houlette du co-réalisateur et d'un habile montage , cette fameuse cicatrice devient alors le fait d'une bagarre avec de méchants enfants blancs qui voulaient en découdre avec elle. Je ne doute pas un instant pour ma part, que Donna Summer ai souffert du racisme dans le Boston des années 50 . Mais je trouve dommage de transformer la réalité des faits pour la faire coller à l'idéologie d'un discours militant ...